1. |
Stéréo
02:47
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Oh nightlife
Déposer ma semaine pour un remontant
Oh nightlife
Aller où tu me mènes et quitter les rangs
Oh oh
Ferme la porte et reste un peu
Que le bonheur soit vitreux
Encore
Oh nightlife
Je vomirai ton nom dans les escaliers
Oh nightlife
Je danserai au son d’un futur brisé
Oh oh
Rejouer l’accord
Stéréo stéréo
Conjuguer nos corps
Stéréo stéréo
Oh nightlife
Je ne sais plus où je suis
Oh nightlife
Chercher l’issue dans l’oubli
Oh oh
Ferme la porte et reste un peu
Que le bonheur soit vitreux
Encore
Rejouer l’accord
Stéréo stéréo
Conjuguer nos corps
Stéréo stéréo
Enterrer la mort
Stéréo stéréo
Conjurer le sort
Stéréo stéréo
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2. |
Mes Wranglers et moi
02:34
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Mes Wranglers et moi
Jusqu’à ce que la nuit tombe
Mes Wranglers et moi
À l’aube de nouveau ensemble
Qu’est-ce que le spasme de vivre?
Bébé
Quand la sueur nous délivre
Bonne étoile et bottes de cuir
Bébé
Pour le meilleur et le pire
Pour le meilleur et le pire
Mes Wranglers et moi
Jusqu’à ce que la nuit tombe
Mes Wranglers et moi
À l’aube de nouveau ensemble
Pas besoin de métaphore
Bébé
Quand le travail est bien fait
Le repos c’est pour les morts
Bébé
L’amérique ne dort jamais
L’amérique ne dort jamais
Mes Wranglers et moi
Jusqu’à ce que la nuit tombe
Mes Wranglers et moi
À l’aube de nouveau ensemble
Usés à la corde
Sans remplaçant
Nous traversons le temps
Mes Wranglers et moi
Mes Wranglers et moi
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3. |
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Invoquer le dieu
Fou
Quand la chandelle en vaut le jeu
Elle brûle par les deux bouts
Si les cartes postales
Parlaient
Et qu’on nous voulait du mal
Muettes elles resteraient
À chaudes larmes
En concordance
Comme une civière pour ton ambulance
La destination par défaut
Les souvenirs en embargo
Causer les feux verts
Partout
Rouler à tombeau ouvert
Même quand il pleut des clous
À chaudes larmes
En concordance
Comme une civière pour ton ambulance
À chaudes larmes
En concordance
Comme une civière pour ton ambulance
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4. |
La marche à suivre
03:14
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Une envie
D’être ce que tu préfères
Me pourrit
Et ce, des os à la chair
Pardonne-moi si j’ai peur que tout s’écroule
J’appréhende la marche à suivre
Et je sais
Nous ne sommes plus des livres ouverts
Mais allongés
Laisse-moi lire tes phylactères
Pardonne-moi si j’ai peur que tout s’écroule
J’appréhende la marche à suivre
Voudras-tu de moi demain?
La conclusion reste sur sa faim
La nuit nous prend pour emporter
Et j’apprends à mieux perdre pied
Anémie
De mes instincts réfractaires
Ils se replient
Et semblent perdre la guerre
Pardonne-moi si j’ai peur que tout s’écroule
J’appréhende la marche à suivre
Voudras-tu de moi demain?
La conclusion reste sur sa faim
La nuit nous prend pour emporter
Et j’apprends à mieux perdre pied
Et j’appréhende la marche à suivre
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5. |
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Rouge, blanc puis bleu
Nos sentiments
Sont silencieux
Ils gisent répandus
Aux coins de nos rues
Les vestiges d’un temps
Qui n’est plus
La porte est close
Nous dérivons
Vers autre chose
Ils gisent répandus
Aux coins de nos rues
Les vestiges d’un temps
Qui n’est plus
Le blanc, le rouge et le bleu
Nos z’amours se font vieux
Et l’été se retire sur trois prises
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6. |
À défaut d'y croire
02:32
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S’il le faut
Je trouverai l’oasis de tes sanglots
J’irai creuser l’écart
Pour ramper plus haut
Confettis agrafés sur mes sentiments
Allongé dans un lit autrefois trop grand
Je sais déjà que le doute me talonne
À mon soulier une gomme
S’il le faut
Je trouverai l’oasis de tes sanglots
J’irai creuser l’écart
Pour ramper plus haut, à défaut d’y croire
Opter pour le foutoir au lieu de l’enclos
Je changerai les accords
Je changerai les mots
Et pour que ma conscience vive avec moi
Quitter une fois pour toute le cinéma
Un choix éclairé, la séquence puis la porte
C’est bien terminé?
À défaut d’y croire
À défaut d’y croire
J’irai creuser l’écart
Pour ramper plus haut, À défaut d’y croire
Opter pour le foutoir au lieu de l’enclos
Je changerai les accords
Je changerai les mots
À défaut d’y croire
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7. |
Tu ne peux plus mourir
02:44
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Je vois de fait
Un peu beaucoup passionnément
Ma bonne étoile est un signet
Notre avenue n’est plus qu’un rang
Je marche lentement par exprès
Nous étions inclinés
Nous sommes à nouveau droits
J’ai tout analysé
han han
Ce n’est pas ce que tu crois c’est cent fois pire
Je ne sais pas comment te dire
Tu ne peux plus mourir
J’ai beau essayer de te mentir
Je ne sais pas comment te dire
Tu ne peux plus mourir
À bout portant
Ma bouche évite la tienne à deux reprises
Les mots s’avèrent alors insuffisants
C’est peut-être une question de prise?
Ou c’est peut-être le courant?
Nous étions inclinés
Nous sommes à nouveau droits
J’ai tout analysé
han han
Ce n’est pas ce que tu crois c’est cent fois pire
Je ne sais pas comment te dire
Tu ne peux plus mourir
J’ai beau essayer de te mentir
Je ne sais pas comment te dire
Tu ne peux plus mourir
Mieux vaut faire fi de nous
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8. |
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La noirceur brille par son absence
Depuis que je ne suis plus ici
J’ai libéré mon innocence
Je l’expose en périphérie
T’aimer comme on plie un drap contour
Ta muraille avec mes bras autour
C’était ça
Me faire du mal est maintenant révolu
Ta brosse à dents n’existe plus
T’aimer comme on plie un drap contour
Ta muraille avec mes bras autour
C’était ça
Réunis par l’isolement
Dans un pacte au temps compté
Partager des tressaillements
Sans jamais trop en discuter
Et comme toujours
Mes sentiments
Me jouent des tours
C’était ça
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